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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LES BELLES HEURES
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Titre du segment | Michèle Lalonde (1 de 5) |
Date de création
| 1984-03-26 |
Durée du segment | 00:14:19 |
Invités | Lalonde Michèle, auteure |
Artisans | Giguère Suzanne, intervieweuse; Hamelin André, réalisateur; Séguin Normand, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Rencontre avec la poète québécoise Michèle Lalonde. Elle parle de son rôle au sein de la Fédération internationale des écrivains de langue française, s'exprime sur l'avenir du nationalisme québécois et sur son engagement politique, en tant qu'intellectuelle. Elle justifie son parti pris pour la diffusion orale. |
Mots clés | Groupes et réseaux — Littérature — Nationalisme — Poésie — Politique |
Identifiant | 1562878 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
PROPOS ET CONFIDENCES
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Titre du segment | Jean-Louis Roux - Adieu Montréal... Bonjour Paris |
Date de création
| 1991-04-14 |
Durée du segment | 00:27:50 |
Invités | Roux Jean-Louis, comédien |
Artisans | Faucher Jean, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Entretien avec le comédien Jean-Louis Roux. Il rappelle l'impact de la Deuxième Guerre mondiale dans sa vie, le climat nationaliste au Québec dans les années 1950, son engagement dans le mouvement indépendantiste Les X, ses années avec Les Compagnons de Saint-Laurent, la personnalité du père Émile Legault, l'apport de Ludmilla Pitoëff à sa formation de comédien, l'abandon de ses études de médecine en 1946 et ses raisons d'aller vivre à Paris. |
Mots clés | Groupes et réseaux — Guerres — Indépendantisme — Littérature — Nationalisme — Paris — Politique — Société — Théâtre |
Identifiant | 234933 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
L'AVENTURE
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Titre du segment | L'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste |
Date de création
| 1997-02-17 |
Durée du segment | 00:48:12 |
Invités | Germain Jean-Claude, historien |
Artisans | Blondin Robert, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Robert Blondin présente l'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste avec l'historien Jean-Claude Germain. Ils se retrouvent à la maison Ludger-Duvernay, à Montréal, siège social de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Au début du siècle, le gouvernement provincial ne joue pas toujours son rôle. Certaines tâches qu'il devrait accomplir sont prises en main par la SSJB. Ainsi, lors de la Première guerre mondiale, l'image des Canadiens-français est ternie à l'étranger car ils ne veulent pas aller à la guerre et les Américains ainsi que les Français ne comprennent pas pourquoi. La SSJB va créer un bureau de publicité et il y aura un correspondant à Boston qui écrira des articles ou fera des rectifications dans les médias. La SSJB continue de jouer son rôle d'éducation populaire en finançant des émissions de radio qui sont axées sur l'histoire. La francisation est également un dossier important. La SSJB réussit à ce que le gouvernement ordonne à la compagnie Bell Téléphone qu'elle inscrive les bureaux de l'administration provinciale en français et en anglais dans les bottins. Elle exige également que l'administration municipale de Montréal conçoive ses documents dans les deux langues. À Noël 1924, grâce à Victor Morin, la croix sur le Mont-Royal s'illumine. En 1926, on érige un monument aux Patriotes. En 1934, c'est le centenaire de la SSJB et on fait le bilan de ces cent ans. Le monument national, ses cours publiques, la Caisse nationale d'économie, la caisse de remboursement, la Société nationale de fiducie, l'institution d'un concours d'histoire, la publication de "L'oiseau bleu" (revue pour enfants), les émissions hebdomadaires de radio à CKAC. En 1935, Joseph Dansereau énonce une définition du nationalisme qui deviendra la doctrine de la SSJB. Le nationalisme, c'est la fière notion de soi et l'énergique poursuite de sa destinée. En 1939, la SSJB s'opposera encore à la conscription. En 1947, le président de la SSJB, Roger Duhamel, fondera deux institutions: les prix littéraires et le prêt d'honneur. La SSJB sera active dans les années 1970 lorsque les conflits pour la langue réapparaîtront avec la loi 22 et la loi 63. Aujourd'hui, elle reste avec le mandat de son origine, un lieu de discussion, en dehors des partis politiques. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Histoire — Langue — Nationalisme — Politique — Société |
Identifiant | 1254015 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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